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2009. október 18., vasárnap

3.673 - Charles Sucsan: En mémoire de la révolution et le combat pour la liberté des Hongrois, le 23 octobre, 1956.

                Charles Sucsan

Artiste en art visuel    575 Barthélemy  Longueuil, Québec J4J 1M5 Canada

Phone 450 670 7733  Email c.sucsan@videotron.ca  www.sucsan.ca

 

En mémoire de la révolution et le combat pour la liberté des Hongrois, le 23 octobre, 1956.

 

Une autre année s'ajoute aux commémorations depuis le soulèvement et la révolution des Hongrois de 1956, qui a été le déclencheur de l'effondrement à plus long terme de l'empire dictatorial de l'Union Soviétique construit sur la soi-disant idéologie communiste.

À l'époque, le monde s'est ébahi devant l'héroïsme des Magyars (Hongrois) qui étaient opprimé de toute part, par une dictature au nom de  «la République populaire... », mais qui n'avait que le nom, puis ce que les dirigeants, aussi bien hongrois que soviétiques avaient des objectifs occultes, lesquelles n'avaient rien avoir avec l'idéologie de la société égalitaire prôné par les adhérant au communisme. En Hongrie même la première action du Régime de Rakosi fut la destruction de la cellule familiale, sous prétexte de l'égalité des femmes avec les hommes. C'est ainsi qu'on a vu les jeunes femmes devenir massons, charpentiers, mécaniciennes, travailleuses d'usine etc. En même temps, une vague de confiscation des biens alimentaires les plus élémentaires dans les moindres recoins du pays et malheur à celui qui cachait deux poules et des œufs, ou de la farine. Les commissaires étaient sans pitiés. Chanceux était celui qui échappait le goulag pour l'offense d'avoir caché une poule de trop.

Je mention  ces faits  parmi les innombrables vexations que la dictature du régime Rakosi et ses sbires ont fait subir à une population qui n'avait aucun moyen de se défendre, n'ayant des droits constitutionnels que sur papier, car c'est les commissaires qui faisaient la loi selon leur bon vouloir.

L'occident, ou plutôt la population occidentale ne pouvait s'imaginer la terreur sous laquelle  vivaient les Hongrois à cette période de leur histoire.

Parallèlement,  la vengeance du régime contre les anciens dirigeants du pays était des plus brutales. Les tribunaux dits « populaire » dans des procès bidon rempli de faux témoins et de fausses accusations pour envoyait à l'échafaud, des dizaines anciens ministres et de centaines intellectuels du régime précédent. C'est ainsi qu'il y a eu plus de 300 exécution pour « crime de guerre », contre 7 ou 8 en Allemagne.  Ceux qui ont eu la vie sauve partaient pour le goulag  soviétique de la Sibérie par dizaine de milliers, dont la plupart ne sont jamais retourné en Hongrie.

 

À côté de l'hécatombe physique de la nation Magyar, le bouleversement des valeurs sociales et nationales ont achevé la capacité d'endurer les vexations de la dictature communiste, qui n'était possible que grâce aux troupes soviétique qui occupait la Hongrie.

Le mécontentement était déjà palpable dès le mois d'août 1956, pour une part, fomenté par la Radio « Free Europe » aussi. Nul ne saura qui étaient véritablement derrière la création des tensions contre les soviétiques, mais le vase déborda lors d'une manifestation monstre de solidarité avec Polonais devant le statut du Général Bem, héro de la Guerre d'Indépendance de 1848 contre l'Autriche occupant la Hongrie.

Le premier geste de la manifestation c'est d'avoir coupé l'emblème communiste dans le drapeau national rouge, blanc, vert.

Suivis de la déclaration des étudiants universitaires, réclament les réformes par une pétition de 16 points.

À partir de ces moments, les frustrations explosaient parmi toute la population et les revendications fusent de partout pour finir devant l'édifice de la Radio National, où la foule exigeait la lecture à la radio de leur pétition.

La réponse fut un massacre à la mitrailleuse, venant du toit de l'édifice. Il y a eu plus de 120 morts et des centaines de blessés. Les ambulances qui venaient chercher les blessés, certains allaient derrière l'édifice de la Radio. Ce qui était louche et des manifestants en les arrêtant, constatèrent qu'elles étaient remplies d'armes pour les défenseurs de la Radio.

 

La révolution armée éclata et en un rien de temps en s'accaparant les armes emmenées par les ambulances. La manufacture d'arme de Csepel fut envahie et la guerre d'indépendance commença au cri de Ruszki haza! Chez vous les Russes!

La surprise des chancelleries occidentales fut on ne peut plus inattendu et nous assistions à une tergiversation des politiciens occidentales, quant à l'attitude approprié à prendre, face à ce soulèvement populaire incontrôlé.  Même lors ce qu'un gouvernement provisoire fut instauré sous la direction Imre Nagy, un ex communiste converti, le manque de confiance envers la révolution était visible, car au Conseil de Sécurité des Nations Unis on étirait le temps pour voir comment ce soulèvement va-t-il finir.

La première exigence de la Révolution fut le départ des troupes soviétique et après négociation ils décidèrent de partir. Ce fut une bonne stratégie de leur part, car ils voulaient protéger les familles des troupes qui y vivaient une meilleure vie en Hongrie qu'en Union Soviétique. La joie des Hongrois de voir les tanks soviétiques quitter Budapest était immense et on commença à croire que la révolution était victorieuse.

La vie quotidienne s'organisait, les journaux libres répandaient les nouvelles idées de société. Parmi ceux-ci: traduire devant la justice les communistes entachés de crime contre l'humanité et contre les individus innocents etc.

Cette dernière exigence alluma les lumières rouge dans les chancelleries occidentales. Après tout, avec les alliés Soviétiques ils ont reconnu le gouvernement Hongrois et signé le « Traité de paix de Paris 1947 » et voir ses ex membres traduit en justice par une horde de révolutionnaire incontrôlé dépassait les limites de la tolérance de Paris, Londres et Washington. Quand je dis incontrôlé, je veux dire de toute ingérence étrangère.

Or l'ingérence étrangère en Hongrie  était de façon des plus  intenses depuis le démantèlement territorial par le Diktat de Trianon, pour ne pas dire depuis 1525, par l'invasion  Turc. Invasion concoctée grâce à la mère de François I qui voulait faire libérer son fils de l'emprise de l'Empereur Germanique. C'est ainsi que par l'intermédiaire de la Yougoslavie le gouvernement Américain à laissé entendre au Russes que "les États-Unis ne verrait pas d'un bon œil un pays voisin hostile à l'Union Soviétique". Ce qui donnait le feu vert pour envoyer les tanks soviétiques pour envahir la Hongrie le 4 novembre 1956 et réinstaller la dictature communiste, ce qui garantirait que les criminels de l'ex gouvernement hongrois qu'ils ne seront pas traduits en justice. Au diable la démocratie et la liberté des peuples, pour lesquelles on pétait les bretelles en Occident, mais on les piétine quand cela ne fait pas l'affaire des grandes puissances.

 

C'est pour dire que la Hongrie a toujours était un jeton dans les jeux politique des grandes puissances qui s'arrogent le droit de s'immiscer dans la vie des petits nations Européennes et imposer leur volonté soit par la force ou par des manouvres Machiavéliques, laquelle de nos jours fonctionnent à merveille en Hongrie.

La peur viscérale des grandes puissances coupable du démantèlement de la Hongrie a fait qu'ils ont préféré de voir les ex communistes changer en agneaux démocrate et garder le pouvoir, au soi-disant changement de régime à l'effondrement de l'Union soviétique. Cela les assuraient que personne ne sera traduit en justice pour les crimes du régime communiste antécédent et toujours faisant fit de l'injustice subi par le 15 million d'Hongrois du Bassin des Carpates, l'Occident protège inconditionnellement ses vassaux de Budapest. Mieux  il les aide à briser définitivement l'identité national Magyar,  pour écarté à tout jamais une renaissance des Magyars qui ont montré au monde leur vaillance face aux tanks soviétique, durant leur combat pour la liberté national ,écrasé avec l'assentiment des grandes puissances le 4 novembre 1956.

53 ans après ce vaillant combat pour l'indépendance national Magyar, les Magyar ne sont pas plus avancé dans leur quête de justice et la terreur gouvernementale à repris on ne peu plus belles, lors ce que nous avons vu la répression brutale de ceux qui voulaient commémorer le 5ème anniversaires du plus glorieux combat pour l'indépendance nationale du 23 octobre 1956.

 

Aujourd'hui les agents secrets de toutes les puissances militaires pullulent la Hongrie, comme agents provocateur pour dénigrer la nouvelles volonté des Magyars de prendre en main leur destiné national. Ils ne reculent devant aucune méthode, y compris l'assassinas et fomentent des groupuscules extrémistes affin d'accuser les Hongrois de visé d'extrémisme de droite. Cette stratégie fonction à merveille puis ce qu'en Occident les médias s'en donne à cœur de joie de propager ces mensonges, bien orchestré par ces agents secrets.

 

En somme il est clair que la révolution de 1956 n'est pas achevée et quoi qu'on fasse, lors ce que l'Occident s'effondrera sous l'injustice qu'elle provoque partout dans le monde, la révolution du 23 octobre 1956 triomphera.  Ce sera le retour de la première communauté de l'Europe qui a émergé dans le Bassin des Carpates il y a plus de trente mille et développa la première langue et l'écriture runique de l'humanité, dont les réminiscences sont conservées dans la langue unique du Magyar actuel, n'en déplaisent aux magyar-phobes, qui pullulent parmi les politiciens de l'Occident.

En cette anniversaire, tous ceux qui à travers le monde croient que la vérité et la justice triomphera un jour pour l'humanité, ils sont convié à partager l'espoir des Combattants de la Liberté National des Hongrois, qui sont mort aux combats ou sur l'échafaud, en remémorant les causes qui ont fait échoué un des plus glorieux combat pour la liberté et l'indépendance national du peuple Magyar, le 23 octobre, 1956.

 

Charles Sucsan

Libre penseur